Contrairement à ce qu’ont complaisamment annoncé les médias, la FSU, ne saurait envisager un tel arrêt de l’action alors que le gouvernement s’entête à maintenir les suppressions de postes pour 2008 et dépose un projet de loi remettant en cause le droit de grève dans l’éducation nationale à travers le « service minimum d’accueil ».